culture
vendredi 23 août 2013
lundi 12 août 2013
Sweet Marjonam Or Marjonam البردقوش en francais :La Marjolaine
c'est une plante médicinale , annuelle , utiliser dans les traitements des cas de déséquilibre, des hormones sexuelles surtout l'hormone de progestérone chez les femmes et dans les cas de stérilité sexuelle ,
mode d’utilisation: sous forme des tisanes 2 fois par jour
mode d’utilisation: sous forme des tisanes 2 fois par jour
mardi 6 août 2013
Modèle carte d'invalidité à titre militaire
Prénom Nom Ville,
le Date
Rue
CP Ville
A
Monsieur le maire de Ville
Rue
CP
Ville
Objet : demande de
carte d'invalidité à titre militaire.
Monsieur le Maire,
Je me permets de vous
demander de me faire établir une carte d'invalidité à titre militaire, dont
j'aurais le plus grand besoin, au nom de Prénom Nom, demeurant au Rue, CP
Ville.
Vous trouverez
ci-joint une enveloppe timbrée à mon adresse pour la réponse, ainsi que les
justificatifs du motif de ma requête.
En vous remerciant
par avance, je vous prie d'agréer, Monsieur le Maire, l'expression de mes
sentiments distingués.
Prénom Nom
Demande manuscrite
Ville le
... / 08 / 2012
|
Monsieur : nom prénom
Adresse : ……………
N° de tél. 00.00.00.00.00
Email: ……………
Objet : Demande d'inscription au
concours de recrutement des maitres assistants classe ‘’B’’
J'ai
l'honneur de solliciter de votre haute bienveillance de bien vouloir inscrire
mon nom sur la liste des candidats à la présélection qui aura lieu dans votre
établissement.
Je porte à votre connaissance que je suis de nationalité algérienne,
né le (06 / 03 / 1980), titulaire de niveau de magister en …..
spécialité ……
Je joins à cette demande toutes les pièces nécessaires à la constitution de mon dossier de candidature.
Dans l’espoir que vous consentiriez accueillir favorablement ma demande, je vous prie de croire, monsieur le directeur, d'accepter mes salutations les plus distinguées.
Signature:
…….
modèle d'enregistrement d'un brevet d'invention
Objet : brevet d'invention, certificat d'utilité - désignation de l'inventeur.
Apostrophe,
Veuillez trouver,
ci-jointe, ma demande d'enregistrement de brevet d'invention pour une nouvelle
formule de laque pour bois.
L'exploitation
commerciale de cette invention étant d'ores et déjà plannifiée, je vous serais
reconnaissant de m'informer rapidement de tout problème qui surviendrait dans
le déroulement de cette procédure.
Formule de politesse.
Prénom Nom
lundi 5 août 2013
Culture et transmission culturelle
Les termes «culture» et «transmission culturelle»
sont régulièrement employés dans l’étude des tradi-
tions comportementales chez les animaux. Le pre-
mier terme fait généralement référence à l’ensemble
des comportements et traditions qui se transmettent
à travers les générations, tandis que le second ren-
voie au processus même qui sous-tend cette trans-
mission. Différentes définitions de la culture ont été
proposées (Cavalli-Sforza et Feldman 1981, Boyd et
Richerson 1985, Dugatkin 1999). Nous adopterons
ici la définition récemment formulée par Freeberg
(2000) en la limitant aux espèces non humaines:
«l’ensemble des traditions comportementales d’une popu-
lation qui sont apprises et transmises socialement». Le
terme de «tradition» insiste sur la nature nécessaire-ment conservatrice de la culture, au moins sur des
bases de temps courtes ou à des échelles spatiales
réduites. Cette relative stabilité suppose que des pro-
cessus sélectifs interviennent dans le maintien des
traditions dans l’espace et dans le temps (Galef 1995,
Giraldeau 1997). Cette définition a aussi l’avantage
de mettre l’accent sur le fait que le concept de culture
n’a de sens qu’au niveau d’une population et ne
constitue pas une caractéristique individuelle (Boyd
et Richerson 1985). Enfin, elle souligne que la
transmission culturelle des comportements nécessite
une interaction sociale (sous la forme d’un processus
de démonstration et/ou d’imitation) entre un indi-
vidu possédant le comportement et un individu naïf.
Ainsi définie, la culture exclut tous les comporte-
ments congénitaux (présents depuis la naissance de
l’individu) et les comportements appris strictement
par essai-erreur (Freeberg 2000).
La définition proposée ci-dessus est très proche de
celle proposée par Dugatkin (1999): «La culture est
l’ensemble des informations capables de modifier le
phénotype d’un individu, informations acquises à partir
des congénères soit par imitation, soit à travers un
enseignement.» Cette deuxième définition insiste sur
le fait que la culture modifie l’individu qui la reçoit.
D’autre part, elle précise clairement quels sont les
processus impliqués dans la transmission culturelle.
Cela lui confère une grande efficacité pour une
application à des cas concrets.
Enfin, d’autres auteurs ont insisté sur le fait que
pour que l’on puisse parler de transmission cultu-
relle, il est nécessaire que la modification du phéno-
type induite par l’information acquise à partir
d’autres individus soit durable (Brooks 1998). C’est
par exemple le cas du chant des oiseaux chez les
espèces où le jeune mâle apprend le chant de son
espèce par imitation du chant des mâles voisins. Si
ces mâles voisins ont un chant atypique, le jeune
mâle une fois devenu adulte chantera définitivement
de cette manière atypique. C’est ainsi que l’on explique
l’évolution de véritables dialectes.
Nous allons maintenant voir en quoi l’évolution
culturelle et l’évolution par mutation génétique et
sélection se ressemblent et se différencient.
sont régulièrement employés dans l’étude des tradi-
tions comportementales chez les animaux. Le pre-
mier terme fait généralement référence à l’ensemble
des comportements et traditions qui se transmettent
à travers les générations, tandis que le second ren-
voie au processus même qui sous-tend cette trans-
mission. Différentes définitions de la culture ont été
proposées (Cavalli-Sforza et Feldman 1981, Boyd et
Richerson 1985, Dugatkin 1999). Nous adopterons
ici la définition récemment formulée par Freeberg
(2000) en la limitant aux espèces non humaines:
«l’ensemble des traditions comportementales d’une popu-
lation qui sont apprises et transmises socialement». Le
terme de «tradition» insiste sur la nature nécessaire-ment conservatrice de la culture, au moins sur des
bases de temps courtes ou à des échelles spatiales
réduites. Cette relative stabilité suppose que des pro-
cessus sélectifs interviennent dans le maintien des
traditions dans l’espace et dans le temps (Galef 1995,
Giraldeau 1997). Cette définition a aussi l’avantage
de mettre l’accent sur le fait que le concept de culture
n’a de sens qu’au niveau d’une population et ne
constitue pas une caractéristique individuelle (Boyd
et Richerson 1985). Enfin, elle souligne que la
transmission culturelle des comportements nécessite
une interaction sociale (sous la forme d’un processus
de démonstration et/ou d’imitation) entre un indi-
vidu possédant le comportement et un individu naïf.
Ainsi définie, la culture exclut tous les comporte-
ments congénitaux (présents depuis la naissance de
l’individu) et les comportements appris strictement
par essai-erreur (Freeberg 2000).
La définition proposée ci-dessus est très proche de
celle proposée par Dugatkin (1999): «La culture est
l’ensemble des informations capables de modifier le
phénotype d’un individu, informations acquises à partir
des congénères soit par imitation, soit à travers un
enseignement.» Cette deuxième définition insiste sur
le fait que la culture modifie l’individu qui la reçoit.
D’autre part, elle précise clairement quels sont les
processus impliqués dans la transmission culturelle.
Cela lui confère une grande efficacité pour une
application à des cas concrets.
Enfin, d’autres auteurs ont insisté sur le fait que
pour que l’on puisse parler de transmission cultu-
relle, il est nécessaire que la modification du phéno-
type induite par l’information acquise à partir
d’autres individus soit durable (Brooks 1998). C’est
par exemple le cas du chant des oiseaux chez les
espèces où le jeune mâle apprend le chant de son
espèce par imitation du chant des mâles voisins. Si
ces mâles voisins ont un chant atypique, le jeune
mâle une fois devenu adulte chantera définitivement
de cette manière atypique. C’est ainsi que l’on explique
l’évolution de véritables dialectes.
Nous allons maintenant voir en quoi l’évolution
culturelle et l’évolution par mutation génétique et
sélection se ressemblent et se différencient.
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