lundi 12 août 2013

Sweet Marjonam Or Marjonam البردقوش en francais :La Marjolaine

c'est une plante médicinale , annuelle , utiliser dans les traitements des cas de déséquilibre, des hormones sexuelles surtout l'hormone de progestérone  chez les femmes et dans les cas de stérilité sexuelle ,
mode d’utilisation: sous forme des tisanes 2 fois par jour

Astuce pour le téléphone portable


mardi 6 août 2013

Modèle carte d'invalidité à titre militaire



Prénom Nom                                                                                                  Ville, le Date
Rue
CP Ville

                                                                                                                     
                                                                                                                      A Monsieur le maire de Ville
                                                                                                                      Rue
                                                                                                                      CP Ville
                                                                                                                     





Objet : demande de carte d'invalidité à titre militaire.




Monsieur le Maire,



Je me permets de vous demander de me faire établir une carte d'invalidité à titre militaire, dont j'aurais le plus grand besoin, au nom de Prénom Nom, demeurant au Rue, CP Ville.

Vous trouverez ci-joint une enveloppe timbrée à mon adresse pour la réponse, ainsi que les justificatifs du motif de ma requête.

En vous remerciant par avance, je vous prie d'agréer, Monsieur le Maire, l'expression de mes sentiments distingués.

Prénom Nom

Demande manuscrite



                                                                                                   Ville le   ... / 08 / 2012


A Monsieur : Le directeur d’université
                        de  Wilaya
 
 
Monsieur : nom  prénom  
Adresse : ……………                         
N° de tél. 00.00.00.00.00
Email: ……………                         


     Objet :   Demande d'inscription au concours de recrutement des maitres assistants classe ‘’B’’

        J'ai l'honneur de solliciter de votre haute bienveillance de bien vouloir inscrire mon nom sur la liste des candidats à la présélection qui aura lieu dans votre établissement.
        Je porte à votre connaissance que je suis de nationalité algérienne, né le (06 / 03 / 1980), titulaire de niveau de magister en ….. spécialité ……

      Je  joins à cette demande toutes les pièces nécessaires à la constitution de mon dossier de candidature.

      Dans l’espoir que vous consentiriez accueillir favorablement ma demande, je vous prie de croire, monsieur le directeur, d'accepter mes salutations les plus distinguées.


                                                                                               
 Signature:
                                                                                                                   ……. 

modèle d'enregistrement d'un brevet d'invention

Objet : brevet d'invention, certificat d'utilité - désignation de l'inventeur.



Apostrophe,



Veuillez trouver, ci-jointe, ma demande d'enregistrement de brevet d'invention pour une nouvelle formule de laque pour bois.

L'exploitation commerciale de cette invention étant d'ores et déjà plannifiée, je vous serais reconnaissant de m'informer rapidement de tout problème qui surviendrait dans le déroulement de cette procédure.

Formule de politesse.

Prénom Nom

lundi 5 août 2013

Culture et transmission culturelle

Les termes «culture» et «transmission culturelle»
sont régulièrement employés dans l’étude des tradi-
tions comportementales chez les animaux. Le pre-
mier terme fait généralement référence à l’ensemble
des comportements et traditions qui se transmettent
à travers les générations, tandis que le second ren-
voie au processus même qui sous-tend cette trans-
mission. Différentes définitions de la culture ont été
proposées (Cavalli-Sforza et Feldman 1981, Boyd et
Richerson 1985, Dugatkin 1999). Nous adopterons
ici la définition récemment formulée par Freeberg
(2000) en la limitant aux espèces non humaines:
«l’ensemble des traditions comportementales d’une popu-
lation qui sont apprises et transmises socialement». Le
terme de «tradition» insiste sur la nature nécessaire-ment conservatrice de la culture, au moins sur des
bases de temps courtes ou à des échelles spatiales
réduites. Cette relative stabilité suppose que des pro-
cessus sélectifs interviennent dans le maintien des
traditions dans l’espace et dans le temps (Galef 1995,
Giraldeau 1997). Cette définition a aussi l’avantage
de mettre l’accent sur le fait que le concept de culture
n’a de sens qu’au niveau d’une population et ne
constitue pas une caractéristique individuelle (Boyd
et Richerson 1985). Enfin, elle souligne que la
transmission culturelle des comportements nécessite
une interaction sociale (sous la forme d’un processus
de démonstration et/ou d’imitation) entre un indi-
vidu possédant le comportement et un individu naïf.
Ainsi définie, la culture exclut tous les comporte-
ments congénitaux (présents depuis la naissance de
l’individu) et les comportements appris strictement
par essai-erreur (Freeberg 2000).
La définition proposée ci-dessus est très proche de
celle proposée par Dugatkin (1999): «La culture est
l’ensemble des informations capables de modifier le
phénotype d’un individu, informations acquises à partir
des congénères soit par imitation, soit à travers un
enseignement.» Cette deuxième définition insiste sur
le fait que la culture modifie l’individu qui la reçoit.
D’autre part, elle précise clairement quels sont les
processus impliqués dans la transmission culturelle.
Cela lui confère une grande efficacité pour une
application à des cas concrets.
Enfin, d’autres auteurs ont insisté sur le fait que
pour que l’on puisse parler de transmission cultu-
relle, il est nécessaire que la modification du phéno-
type induite par l’information acquise à partir
d’autres individus soit durable (Brooks 1998). C’est
par exemple le cas du chant des oiseaux chez les
espèces où le jeune mâle apprend le chant de son
espèce par imitation du chant des mâles voisins. Si
ces mâles voisins ont un chant atypique, le jeune
mâle une fois devenu adulte chantera définitivement
de cette manière atypique. C’est ainsi que l’on explique
l’évolution de véritables dialectes.
Nous allons maintenant voir en quoi l’évolution
culturelle et l’évolution par mutation génétique et
sélection se ressemblent et se différencient.

LA TRANSMISSION CULTURELLE DES COMPORTEMENTS: AU-DELÀ DES GÈNES?

Les comportements complexes ont des composantes
fixées, qui nécessitent pour leur plein développement
peu ou pas d’apprentissage, et des composantes apprises
au cours du développement. La plasticité des traits
comportementaux est donc renforcée par les capacités
d’apprentissage qui permettent une modification du
comportement en fonction de l’expérience. En pra-
tique, il n’est pas forcément aisé de distinguer au
sein d’un comportement ce qui relève d’une compo-
sante fixée de ce qui relève de l’apprentissage. Cela tient
en partie à la définition même de ce que nous appelons
«comportement» (voir le paragraphe 2.1.1), mais
aussi à la difficulté à établir une correspondance simple
entre gènes et comportement (voir le chapitre 3).
En tant que traits codés génétiquement, les capa-
cités d’apprentissage, et d’une manière générale le
mode de développement du comportement (Chapi-
tre 4), sont aussi des traits soumis au processus de
sélection naturelle. Selon les circonstances écologiques
(régularité, prévisibilité de l’environnement) ren-
contrées par les espèces animales, différents types de
processus d’apprentissage et de mémorisation ont pu
évoluer. Chez beaucoup d’espèces, l’apprentissage et
la modification du comportement au cours du temps
s’effectuent indépendamment de l’influence des congé-
nères, les individus ajustant par exemple leur com-
portement à travers un simple processus d’essai-erreur.
Chez d’autres espèces, une modification survenue en
conséquence de l’expérience acquise par un individu
peut se transmettre à d’autres individus à travers, par
exemple, un processus d’imitation des congénères.
Cette transmission horizontale des comportements
appris d’un individu à l’autre peut devenir une trans-
mission verticale si différentes générations se chevau-
chent au sein des populations, la génération des parents
servant de modèle à la génération des enfants. Une
telle transmission verticale des comportements à tra-
vers les interactions sociales est souvent considérée
comme une transmission culturelle. Actuellement,
l’imitation constitue un sujet de recherche très actif
en écologie comportementale (Dugatkin 1999).
Jusqu’ici, nous avons considéré que la transmission
des différences entre individus d’une génération à la
suivante ne s’effectuait que par voie génétique. Cepen-
dant, l’existence du processus culturel peut changer
fortement les produits de la sélection naturelle. Nous
allons maintenant illustrer cela dans la dernière partie
de ce chapitre. Nous verrons que par plusieurs aspects,
l’évolution culturelle, tout en se rapprochant de
l’évolution par mutation sélection de type Darwi-
nien classique, apporte des nuances importantes au
mode de fonctionnement même de l’évolution. Mais tout d’abord, qu’entend-on par culture?

L’ÉTHOLOGIE

Qu’elle s’inscrive dans le connexionisme ou dans le
cognitivisme, la psychologie comparative du début du
XXe
siècle reste centrée sur l’étude au laboratoire. Cette
situation ne peut satisfaire les zoologistes de l’époque.
Héritiers du mouvement naturaliste, ils refusent
d’adhérer à une science du comportement qui ignore
la diversité et la complexité des conduites animales
telles qu’il est possible de les observer dans la nature.
Les études des béhavioristes ne concernent que des
animaux dont le comportement est suspecté par les
zoologistes d’être dénaturé par la domestication et la
captivité. Qui plus est, les situations proposées à l’ani-
mal (boîte à problème, labyrinthe, cage de Skinner) ne
sont pour eux que des schématisations abusivement
simplifiées de l’environnement naturel. C’est la perti-
nence même de la démarche de la psychologie compa-
rative qui va être mise en doute avec le développement
de l’éthologie, une étude biologique du comporte-
ment animal résolument naturaliste et évolutionniste.
Le mot «éthologie» a été introduit dès 1854 par
le zoologiste français Isidore Geoffroy Saint-Hilaire
(1805-1861) pour désigner l’étude des manières
d’être des animaux1. Initialement, le développement
de cette branche de la zoologie aux contours encore
flous s’organise surtout en réaction à la prépon-
dérance accordée à une autre branche, l’anatomie
comparée. Celle-ci a connu, sous l’influence du zoo-
logiste et paléontologue français Georges Cuvier
(1769-1832), un formidable développement en France
et en Europe, et les observations de terrain ont été
progressivement délaissées au profit des cuvettes
de dissection (Jaynes 1969). Le retour à l’approche
éthologique est prôné en particulier par le zoologiste
et évolutionniste français Alfred Giard (1846-1908)
dont l’intérêt pour les organismes littoraux ne peut
guère se satisfaire des conditions d’investigation
offertes par les laboratoires de l’époque. Évolution-
niste convaincu, Giard ne rejette pas l’hypothèse de
sélection naturelle, mais reste cependant attaché aux
idées de Lamarck et considère que les facteurs de
l’environnement sont les principales forces évolutives
à travers leur influence directe sur le comportement
des animaux. Il en appelle au développement d’une
«physiologie externe», c’est-à-dire d’une étude des
mœurs des animaux et de leurs interactions avec
l’environnement, qu’il distingue explicitement de la
psychologie comparative (Giard 1904). À la suite de
Giard, les tenants de la méthode éthologique main-
tiendront la distinction entre éthologie et psycho-
logie comparative (Jaynes 1969).

vendredi 2 août 2013

Microsoft Office




Microsoft Office est une suite bureautique, élaborée par la compagnie Microsoft et développée pour les plateformes Windows et Macintosh. C’est actuellement la suite bureautique la plus connue dans le monde.
Elle est composée principalement des logiciels suivants : Word, Excel, PowerPoint, Outlook, Publisher, Access,….
- Microsoft Office Word:   Logiciel de traitement de texte
Ensemble des techniques informatiques permettant la saisie, la mémorisation, la correction, l’actualisation, la mise en forme et la diffusion d’un texte quelconque.
- Microsoft Office Excel: Logiciel tableur-grapheur
Logiciel capable de manipuler des feuilles de calcul (traitement automatisé des données financières, production de graphiques, diverses analyses statistiques)
- Microsoft Office PowerPoint: Logiciel de présentation multimédia
Logiciel créateur de présentations (succession de diapositives) pour PC et Mac. Il est utilisé pour créer des présentations avec du texte, avec des images, sons, vidéos et autres objets, qui peuvent être visualisées sur un écran, présentées sur un projecteur et  destinées à informer un public.
- Microsoft Office Outlook: Logiciel gestionnaire de courrier électronique et de tâches personnelles
Bien qu'étant principalement utilisé en tant qu'application email, Outlook propose également un calendrier ainsi qu'un gestionnaire des tâches.
- Microsoft Office Publisher: Logiciel de publication assistée par ordinateur
Pour créer des lettres d'information, cartes de visite, papiers volants, cartes de vœux ou encore des cartes postales. Il a été conçu pour aider des « non-professionnels » à créer et mettre en forme des publications. Publisher est aussi un support pour créer de grands travaux d'impression.
- Microsoft Office Access:  Logiciel de gestion de bases de données
Une base de données est un ensemble structuré et organisé permettant le stockage de grandes quantités d'informations afin d'en faciliter l'exploitation (ajout, mise à jour, recherche de données).   Elle se traduit physiquement par un ensemble de fichiers présent sur une mémoire de masse.